Le plus sexy dos nu croisé à Cannes cette année, un hommage à Michael Jackson rendu devant le palais, et des images de la croisette...
Olivier
Le plus sexy dos nu croisé à Cannes cette année, un hommage à Michael Jackson rendu devant le palais, et des images de la croisette...
Olivier
Pendant 12 jours, nous vous avons donné nos avis sur 25 films ! Mais quand allez-vous pouvoir vous faire les votres ? La réponse dans l'agenda des sorties en salle :
Déjà en salle
Robin des Bois de Ridley Scott
Copie conforme d'Abbas Kiarostami
Juin
30/06 : Tournée de Mathieu Amalric
Juillet
14/07 : Tamara Drewe de Stephen Frears
14/07 : L'autre monde de Gilles Marchand
Août
11/08 : L'arbre de Julie Bertuccelli
Septembre
01/09 : Oncle Boonmee celui qui se souvient de ses vies antérieures de Apichatpong Weerasethakul
08/09 : Des hommes et des dieux de Xavier Beauvois
15/09 : The Housemaid de Im Sang-soo
22/09 : Un homme qui crie de Mahamat Saleh Haroun
22/09 : Hors-la-loi de Rachid Bouchareb
29/09 : Wall Street : l'argent ne dort jamais d'Oliver Stone
Octobre
06/10 : You Will Meet a Tall Dark Stranger de Woody Allen
20/10 : Biutiful d'Alejandro González Inárritu
27/10 : Fair Game de Doug Liman
Novembre
10/11 : La Princesse de Montpensier de Bertrand Tavernier
Décembre
22/12 : La nostra vita de Daniele Luchetti
Sans date
Mon bonheur de Sergeï Loznitsa
Outrage de Takeshi Kitano
Poetry de Lee Chang-Dong
Another Year de Mike Leigh
L'exode - Soleil trompeur 2 de Nikita Mikhalkov
Chongqing Blues de Wang Xiaoshuai
Un garçon fragile - Le projet Frankestein de Kornél Mondruczó
Route Irish de Ken Loach
Olivier
Petite ballade sur la croisette où j'ai croisé par hasard Greg le millionnaire, Jean-Pierre Mocky, Gaspard Ulliel, Emmanuelle Devos, Elise Chassaing, Patrick de Carolis...
Olivier
Et voici les lauréats de ce 63ème Festival de Cannes, élus par le jury présidé par Tim Burton !
Palme d'Or
Oncle Boonmee celui qui se souvient de ses vies antérieures
de Apichatpong Weerasethakul
Grand Prix
Des Hommes et des Dieux de Xavier Beauvois
Prix de la mise en scène
Mathieu Amalric pour Tournée
Prix du Jury
Un Homme qui crie de Mahamat-Saleh Haroun
Prix d'interprétation masculine
Javier Bardem pour Biutiful et
Elio Germano pour La Nostra Vita
Prix d'interprétation féminine
Juliette Binoche pour Copie conforme
Prix du scénario
Lee Chang-dong pour Poetry
Caméra d'or
Année bissextile de Michael Rowe
Nos lecteurs avertis auront remarqué que ce palmarès ne correspond pas trop au notre. Tim Burton et son jury ont affirmé vouloir récompenser des films originaux et inattendus. Bien... nous sommes servis. La palme est décernée à un film tellement atypique que j'ai du mal à comprendre ce choix. Il est vrai que le jury ne cherche pas à être consensuel mais, personnellement, j'éprouve un malin plaisir à imaginer la réaction des personnes qui iront au cinéma pour découvrir cette palme... Ne dites pas qu'on ne vous avait pas prévenus !
Ensuite, pour le reste du palmarès, pas trop de surprises finalement. Nous sommes quand même ravis que Des Hommes et des Dieux ait eu une récompense, le film nous avait effectivement séduits.
Mais revenons un peu à cette cérémonie de clôture...
18h00, Jérôme, Cathy, Olivier et moi nous présentons devant l'accès au palais sans la moindre invitation en poche pour la cérémonie de 19h.
18h50, Olivier, accompagné d'une jolie femme au décolleté vertigineux, arrive à entrer dans le palais. (Nous ne saurons jamais si cette escorte était soumise à condition et si Olivier était prêt à en assumer le prix !) Quant à nous trois, impossible de trouver la moindre place.
19h00, fermeture des barrières : l'entrée de ce côté-ci est devenue inaccessible. C'est alors que Jérôme brandit une invitation durement récupérée et me dit : "Aller Nico, va de l'autre côté et tente ta chance ! Cours Nico ! Cours !". Je me saisis alors du sésame, je traverse alors la foule en délire m'ouvrant le passage tel Moïse franchissant la mer rouge. (En fait, ça ne s'est pas du tout passé comme cela, mais si je vous raconte qu'il a fallu jouer des coudes sur 150m de foule compacte, c'est moins glamour).
19h10, je retrouve Olivier et sa charmante compagne (leur relation est restée éphémère voire platonique). Vu l'heure, nous nous dirigeons en catastrophe vers l'accès "Balcon". Une vingtaine de personnes attendent devant le sas quand une ouvreuse nous informe que tout est complet. Enfer ! On n'a pas signé pour voir la cérémonie de clôture projetée dans une autre salle.
19h20, alors que le groupe de malchanceux commence à se diriger vers la salle Debussy, Olivier et moi tentons le coup de poker de notre vie : descendre en orchestre, et convaincre le service d'ordre de nous laisser un utiliser un strapontin, si du moins il en reste ! Et comme on le dit souvent, la chance sourit aux audacieux : alors que l'agent de sécurité de l'entrée gauche du Grand Théâtre Lumière nous rembarre, celui de droite nous laisser passer. Inespéré, nous nous asseyons alors à quelques rangs du jury, aux premières loges de la prestigieuse cérémonie !
Alors, bilan du festival pour Olivier et moi ?
25 films vus (19 en compétition et 6 pour le fun), 50h de bobines, 2 cérémonies, 3 autographes (Tim, Benicio et Kate - que nous appelons maintenant par leurs prénoms après 10 jours d'intimité)
On appelle cela un GRAND CHELEM !!!!
Nico
Synopsis
En Australie, Dawn et Peter vivent heureux avec leurs quatre enfants à l'ombre de leur gigantesque figuier. Lorsque Peter meurt brutalement, chacun, pour continuer à vivre, réagit à sa manière. Simone, la petite fille de 8 ans, croit que son père vit à présent dans l'arbre. Un jour, elle initie Dawn à son secret... Peu-à-peu Dawn retrouve des forces, un travail. Peut-être un nouvel amour ? La vie reprend mais l'arbre devient envahissant : ses branches, ses racines, et même son peuple de grenouilles et de chauves-souris se lancent à l'assaut de la maison et menaçent ses fondations ! Dawn n'a plus le choix : elle doit le faire abattre...
Les paysages sont magnifiques, les acteurs excellents (tout particulièrement la petite Morgana Davies) et l'histoire est empreinte de poésie et de lyrisme qui ne laissent pas indifférent. Les quatre membres de cette famille encaissent la mort du père chacun à sa façon. Et cet arbre est omniprésent, colossal, magnifique et mystérieux. Il se développe, grandit et s'insinue partout dans la maison de la petite famille...
Une excellente surprise pour clôturer ce 63ème festival. Nous conseillons ce film attachant à tous nos lecteurs qui, comme nous, préfèrent les histoires simples et bien faites aux réincarnations de l'Oncle Boonmee.
Ca y est, le 63ème festival de Cannes s'achève. Olivier et moi pouvons nous targuer d'avoir vu la totalité de la sélection officielle.
Sommairement, le bilan n'est pas très positif. Nous n'avons pas vu de films exceptionnels cette année. Peut-être que trois ou quatre sortent du lot... mais sur une sélection de 19 films, c'est un peu léger.
Voici donc le palmarès Cannes en live 2010 :
Notre Palme d'or : The Housemaid de Im Sang-SooNotre Grand prix du jury : Another Year de Mike Leigh
Notre Prix du jury : Des Hommes et des Dieux de Xavier Beauvois
Notre Prix d'interprétation masculine : Javier Bardem pour Biutiful
Notre Prix d'interprétation féminine : Lesley Manville pour Another Year
Notre Prix de la mise en scène : Copie Conforme de Abbas Kiarostami
Notre Prix du scénario : Biutiful de Alejandro González Iñárritu
Après la vidéo de la séance de minuit avec Louise Bourgoin et l'équipe du Grand Journal, voici ma rencontre avec le créateur de Star Wars George Lucas (peu bavard !) et la belle Mélanie Thierry, mais aussi Oliver Stone, Michael Douglas, Shia LaBeouf et Glen Close sur le tapis, entre autres. Nicolas lui est en quête d'autographes du grand Tim Burton, de la timide Kate Beckinsale et du sympathique Benicio Del Toro. Va-t-il réussir le grand Chelem ? La réponse en images...
Olivier
Synopsis
1941. Cinq années ont passé depuis que les destinées du Général Kotov et de sa famille ont irrémédiablement changé. Aux premiers jours de la guerre, Kotov s'échappe miraculeusement du camp où il était détenu. Considéré comme mort par l'administration soviétique, Kotov est enrôlé dans un bataillon de volontaires au grade de simple soldat et envoyé au front. Sur le champ de bataille, il combat les Allemands sans merci. Grièvement blessé, on lui propose de quitter l'armée à plusieurs reprises. Mais persuadé que sa femme Maroussia et sa fille Nadia ont péri dans un camp de travail, il préfère rester aux côtés de ses camarades. Pourtant, la réalité est toute autre... Les deux femmes sont bien en vie. Nadia, convaincue que son père est vivant, est devenue infirmière dans l'armée et continue de le chercher à travers tout le pays. 1943. Le major du KGB Arsentiev, qui avait fait arrêter et condamner Kotov, reçoit l'ordre de retrouver Kotov par Staline en personne. Arsentiev retrouvera-t-il sa trace dans un pays désormais dévasté par la guerre ? Et pourquoi Staline le fait soudainement rechercher après toutes ces années ?
La critique de Jérôme
Indéniablement la mise en scène est foisonnante et riche mais on ne ressent hélas pas grand-chose côté émotion. Le film enchaine les explosions, les scènes de guerre et d’action à un rythme incroyable, le tout saupoudré d’un humour burlesque à la Russe. Mais on ne décolle pas vraiment. Et cela dure 2h30 et ce n‘est qu’une première partie (enfin la seconde). Le réalisateur expose clairement ses intentions à savoir mettre en scène de grandes fresques historiques et familiales avec un maximum de moyens. Tout cela dans le but de vanter le cinéma russe ? C’est ce que je me demande…Le final est en revanche réussi et émouvant mais cette folie des grandeurs est un peu lourde sur l’écran. Amateurs de grandes fresques aux techniques appuyées et ambitieuse, vous devriez adorer.
Synopsis
Il y a longtemps, un jeune homme a engendré un enfant sans jamais savoir ce qu'il est devenu. A 17 ans, son fils, Rudi, revient en espérant retrouver sa famille après une enfance passée dans une institution. Il espère trouver chez sa mère reconnaissance et affection, et surtout connaître l'identité de son père, mais il constate qu'il n'est pas le bienvenu. Presque par hasard, Rudi se retrouve dans un casting. Le réalisateur du film est fasciné par son innoncence et pense avoir trouvé son acteur principal. Mais un évènement terrible met bientôt fin aux bonnes intentions de Rudi. Il devient un tueur poursuivi, et le réalisateur se rend compte que ce garçon étrange et silencieux est son fils, un monstre qu'il a lui-même crée. Son seul choix est maintenant d'accompagner le destin brutal de son fils dans une recherche commune de la rédemption.
La critique de Nicolas
Décidément, on est servi cette année. Ce film ne brille ni par son intérêt ni par sa réalisation.
Rudi enchaîne les meurtres (pas toujours volontaires) sans éprouver la moindre compassion pour ses victimes... et nous, on se demande où doit se porter notre intérêt, où se trouve le parallèle avec Frankenstein (sous-titre du film) et où on ira manger après la projection.
En effet, les points communs avec le Frankeinstein de Mary Shelley sont faibles et ne suffisent pas à maintenir l'attention du spectateur. La fin est, de plus, bâclée et laisse le public sur sa faim (ce sera la sandwicherie finalement).
Rappel des règles :
- Une (ou plusieurs) énigme par jour, 250 000 joueurs, un seul gagnant !Classement :
Vincent : 3 (Énigmes 3 , 5 et 8)
Fred : 2 (Énigmes 7 et 9)
Cécile : 1 (Énigme 1)
Régis : 1 (Énigme 2)
Maclane : 1 (Énigme 4)
Patrice : 1 (Énigme 6)
Hip : 1 (Énigme 10)
Jacques : 1 (Énigme 11)
Spongebob : 1 (Énigme 12)
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