Synopsis
Avec son nez refait, ses jambes interminables, son job dans la presse people, ses aspirations à la célébrité et sa facilité à briser les cœurs, Tamara Drewe est l'Amazone londonienne du XXIe siècle.
Son retour au village où vécut sa mère est un choc pour la petite communauté qui y prospère en paix.
Hommes et femmes, bobos et ruraux, auteur de best-sellers, universitaire frustré, rock star au rancart ou fils du pays, tous sont attirés par Tamara dont la beauté pyromane et les divagations amoureuses éveillent d'obscures passions et va provoquer un enchaînement de circonstances aussi absurdes que poignantes.
La critique de Ccil
Enfin un peu de gaieté !
Jusqu'à présent, les films proposés n'étaient franchement pas très joyeux. Tamara Drewe apparaît donc comme un petit soleil dans la salle sombre du Grand Théâtre Lumière. Cette comédie réveille les zygomatiques malgré un thème fort pas très léger qu'est l'infidélité.
Situations cocasses et dialogues comiques se mêlent ici pour notre plus grand bonheur.
Un bon moment passé donc lors de cette projection unique... mais hors compétition.
La critique de Seb
Enfin ! Enfin un film léger, drôle et rafraichissant ! Ça faisait longtemps... C'était une séance unique, toute l'équipe du film était présente, et Stephen Frears a dû apprécier d'entendre les rires dans le palais. Tout les ingrédients du vaudeville sont réunis dans ce film haut en couleurs. Les tromperies, mensonges, et autres situations campagnardes cocasses sont un régal. Mention spéciale à la jeune comédienne jouant une fan prête à tout pour rencontrer son idole, ainsi qu'à un troupeau de vaches, fil rouge de cette comédie réussie. La preuve, pendant la séance, fait rare au festival, personne n'a dormi ! A découvrir...
La critique d'Olivier
Quel dommage que ce film ne soit pas en compétition, car c'est mon 2e quatre étoiles (l'autre étant The Housemaid) depuis le début de ce 63e Festival. Stephen Frears (Les liaisons dangereuses, The Queen) est vraiment un grand réalisateur. Tout est parfait, maîtrisé, sans la froideur technique qui aurait pu en découler : le rythme, la mise en scène, la musique, les acteurs (comme Seb, coup de coeur pour la jeune fan). La photographie (lumières, couleurs...) des images est sublime, transcendée par une projection en numérique sans faille. Une grande réussite qu'il faudra aller voir en salle à sa sortie prévue le 14 juillet en France.
bonsoir,
j'ai lu sur rue89 que dorcel avait présenté son dernier film en 3d. L'avez vous vu ? est ce que c'est vraiment sensuel?
merci
Rédigé par : erik | mercredi 19 mai 2010 à 23:35
excellent... :-)
Rédigé par : Blan | jeudi 20 mai 2010 à 09:41